La série `` The House '' revient magique ou maudite?

`` The House '' est la nouvelle série de stop motion streaming sur Netflix à partir du 14 janvier. Ce spectacle met en vedette Helena Bonham Carter, Matthew Goode, Claudie Blakley, parmi d'autres acteurs qui prêtent leur voix à des personnages fantastiques.

Généralement, `` The House '', ressemble à trois titres individuels sur différentes périodes, toutes écrasées ensemble, chacune des contes suivant sa propre histoire unique.

Cependant, ces trois fils sont liés par la Chambre alors que le public apprend que les occupants de la structure du titre sont accordés la liberté d'être et de faire tout ce qu'ils souhaitent tant qu'ils adhèrent aux règles et réglementations de la Chambre au T.

Chaque partie de la série est dirigée par des professionnels dans le domaine de l'animation de stop motion, y compris Ema de Swaef et Marc James Roel, qui s'associe à la première partie intitulée 'et entendu dans: un mensonge est tourné' 'qui présente la maison titulaire.

Les deux scribes élaborent une atmosphère étrange, en accordant une attention particulière à chaque détail de l'établissement et aux accessoires qui y sont trouvés.

Les marionnettes et leurs petits yeux brillants ajoutent surtout un punch supplémentaire à l'environnement, ce qui le rend encore plus effrayant.

Le réalisateur suédois Niki Lindroth von Bahr a écrit le segment qui amène l'histoire au jour en cours intitulé «Alors Lost Is Truth qui ne peut pas être gagné.'

L'humour signature de Bahr est entièrement exposé dans ce programme alors que la série s'aventure de plus en plus profondément dans un monde plus sombre.

Paloma Baeza reprend le chapitre de finition intitulé «Écoutez à nouveau et cherchez le soleil», qui emmène le récit dans un avenir apocalyptique sinistre avec une friche inondée.

Alors que toutes les autres structures semblent avoir été emportées ou submergées sous l'eau, la `` maison '' reste, eh bien, la dernière maison qui, pour être honnête, est assez effrayante, ou peut-être que la fondation était assez forte!

Le scénario mélancolique est écrit par Enda Walsh, tandis que la partition est fabriquée par Gustavo Santaolalla.

En ce qui concerne les perspectives physiques de ce spectacle, il y a une combinaison de teintes lumineuses et sombres. Il y a des personnages dramatiques ainsi que des idiots, qui sont tous combinés pour la série d'anthologie.

Contrairement au style d'animation habituel qui utilise des techniques informatiques bidimensionnelles, «The House» opte pour l'une des techniques d'animation les plus difficiles, à savoir Stop Motion.

La série est un projet original qui bénéficie d'une bien établie et d'une variété d'acteurs de voix, rempli d'immenses moments hilarants et de blagues bien écrites, et fait généralement appel à un public de tous âges.

`` La maison '', cependant, n'est pas votre type d'anthologie classique en soi car il n'y a pas une histoire particulière racontée tout au long du spectacle, mais plutôt un trio de autonomes qui sont interconnectés par la maison elle-même.

Malgré le fait que chacun de ces récits ait son propre style et son ton, on peut généralement les classer dans le genre de comédie d'horreur.

Non seulement les épisodes sont incroyablement effrayants, mais ils sont également dignes de gitre parfois. Cependant, malgré cette combinaison, il y a beaucoup d'humour pour tout équilibrer; Par conséquent, au lieu de se retrouver effrayé par l'os, les côtes pourraient finir par faire mal pendant des jours.

L'un des avantages de ce spectacle est qu'il est plus axé sur les personnages et les développer afin que le public puisse les comprendre et les relier plutôt que de mettre les projecteurs sur l'environnement.

La maison, qui est l'emplacement principal, finit par jouer le rôle qui permet l'auto-réflexion plutôt qu'un espace où certaines créatures d'un autre monde se réfugient.

Ce programme explore une série de thèmes, notamment l'amour, l'anxiété, la culpabilité et la vengeance, et chaque épisode essaie de s'assurer que l'aspect spécifique qu'il aborde ressort clairement d'ici la fin de l'épisode.

La façon dont le spectacle est structuré permet une grande flexibilité, permettant à la direction de passer en douceur d'un épisode à l'autre. Cependant, l'effet global peut parfois être distrayant.

Rester fidèle à la structure narrative de style anthologie et à l'étrangeté qui est personnalisée aux projets du géant de streaming «The House» parvient à construire son propre monde bizarre, ce qui est fantastique.

Si l'on devait décrire toute la série en un mot, c'est une bouchée assez impressionnante.

Il aborde la mort à la fois au figuré. Il aborde l'aspect le plus redouté de tous les êtres humains, les plus jeunes et les plus jeunes mourants.

Cela met également le microscope sur la façon dont les humains essaient de remplir le vide dans leur vie, quelle que soit la cause et met en évidence la dure vérité que les biens matériels que beaucoup pensent apporter le bonheur dans leur vie ne réalise pas généralement cet aspect particulier.

Les trois histoires présentent des personnages qui sont tellement obsédés par la maison qu'ils oublient qu'avoir une structure sous son toit n'en fait pas une maison; aussi fantaisie, il semble que les occupants de cette résidence ne soient pas heureux de vivre là-bas.

Étant une sorte de série, il a parfois l'impression que l'on regarde la peinture sèche sur les murs, et le rythme incroyablement lent, couplé à la musique ambiante murmurante, peut, dans une certaine mesure, rendre cette série difficile à regarder.

Les acteurs de la voix livrent des performances stupéfiantes, en commençant par Helen en tant que Flibbertigibbet Jen. Cependant, la voix de Wokoma en tant que Rosa positive est ce qui ajoute un poids émotionnel au spectacle.

En plus de tout cela, cependant, regarder les personnages se débattre sur une île isolée alors qu'ils attendent leur sort inévitable est assez fascinant.

Dans l'ensemble, l'animation est fantastique, les personnages sont parfaitement conçus et développés, et leurs expressions et manières sont claires comme le jour. Les ensembles sont magnifiquement faits et l'éclairage est tout simplement parfait.

La combinaison de tous ces aspects étonnants se traduit par un spectacle étonnamment attachant qui rend l'expérience de vision intéressante et tolérable.

En plus de rappeler au public que malgré toutes les cascades et CGI, le mouvement d'arrêt est toujours un art, comme tout autre. En dépit d'être un processus fastidieusement long, il génère toujours d'excellents résultats.

`` The House '' est une excellente série qui vaut la peine d'être vérifiée car non seulement l'histoire est grande, on a la chance d'apprécier le processus de réalisation de films impliqué, et pour cela, cela vaut la peine.

Score: 7/10